La vie d’artiste durant les années 50 à 80 n’est pas aussi simple que l’on croit. C’est ce que prouve le réalisateur Robert Budreau dans son film « Born to be blue », en hommage à Chet Baker, trompetiste américain et grande figure du Jazz West Coast du XXème siècle.
De l’émotion, de l’espoir, de la passion. Trois grands aspects que Robert Budreau cherche à faire ressentir au public. On observe la vie particulière de Chet Baker, amoureux et virtuose de Jazz, voué à combattre les différentes péripéties que le destin lui impose : d’abord la perte de ses dents de devant suite à une bagarre, qui lui impose d’apprendre de nouveau son métier de trompettiste, mais aussi son addiction à l’héroïne.
Sorti la semaine dernière sur le grand écran, Born to be blue a reçu des critiques très positives de la presse culturelle et féminine. L’avenir du film s’annonce donc positif, et a fait de Chet Baker une véritable légende.