Elle fait partie des noms incontournables de la scène soul en Europe. Selah Sue a enchaîné les succès, et ce depuis son tout premier album en 2011. Dès sa sortie, son tout premier single intitulé "Raggamuffin" comptabilise un million de vues sur la plateforme YouTube, et, seulement quelques mois plus tard, le morceau est certifié disque de platine. Un talent reconnu par les plus grands noms de l'industrie. La même année, l'auteure-compositrice belge assure la première partie de Prince au Stade de France. Malgré ce succès phénoménal, il se pourrait que vous soyez quand même passés à côté de certains titres de l'artiste et nous sommes donc là pour y remédier.
"Fear Nothing"
C'est probablement un des meilleurs morceaux de sa discographie. Souligné par un clip à l'ambiance apocalyptique qui annonce la fin du monde, cette sublime ballade romantique aborde le thème d'un amour qui rassure, avec lequel on ne craint rien.
"Je veux disparaitre avec toi, je ne craindrais rien. Les choses que j'entends n'ont jamais le même son, jusqu'à ce que je t'ai enfin trouvé".
"Summertime"
D'une douceur et d'une vulnérabilité rare, la chanson est issue du premier album éponyme de Selah Sue. Dévoilée le 4 novembre 2011, elle est écrite par l'artiste elle-même et est produite par Patrice. Un titre magnifique, empreint de mélancolie et très touchant, qui nous plonge hors du temps.
"This World"
Avec ce titre, Selah Sue dévoile une facette plus sombre et envoûtante. Le clip sobre et minimaliste en noir et blanc accentue parfaitement cette image, nous laissant simplement avec la magnifique voix soul de la chanteuse belge.
"Try to make friends"
Sur "Try to make friends", le rythme dansant et solaire du morceau nous en fait presque oublier les paroles très personnelles et sombres de ce troisième morceau de l'album "Persona". Un contraste pour le moins intéressant, qui fait de ce titre un son d'autant plus mémorable.
"Que sera sera" ft. Marcus Miller
En s'alliant à Marcus Miller sur ce morceau, le bassiste américain de renom et la chanteuse belge inscrivent à jamais leurs noms dans l'histoire du jazz moderne, grâce à cette fabuleuse reprise de la chanson de Jay Livingston et Ray Evans dévoilée en 1958.