3121: ou comment Prince flaire les tribunaux...

Revelations ayant baptisé un parfum nommé 3121, en référence à l'album de Prince du même nom, l'accord entre l'artiste et la maison de parfumerie avait été clairement élaboré: le nom était attribué au parfum en question en contrepartie d'une promotion du produit. Or, l'artiste est accusé de ne pas avoir effectué cette clause du contrat comme elle l'était stipulée. Universal Music Publishing Group est également concernée puisqu'elle devait percevoir 50 % des bénéfices générés par les ventes du produit, en échange d'actions de marketing. Le fabricant de parfum réclame 10000 dollars pour rupture de contrat. Affaire jugée à la cours suprême de l'état de New-York...Ca ne fleure pas très bon pour le "love symbol"...