Alabama Mike : son album “Stuff I’ve Been Through” sortira en mai 2023

Alabama Mike : son album “Stuff I’ve Been Through” sortira en mai 2023
Alabaman Mike revient avec un 5e album.

Le 12 exactement.

Quand on écoute Alabama Mike, le choix est assez simple : soit vous êtes prêts à écouter des textes pleins d'une vérité brute, soit vous devez fuir de toute urgence... Dans son nouvel album “Stuff I’ve Been Through” à paraître le 12 mai 2023, le chanteur d'Oakland propose onze nouveaux titres dont deux ont été enregistrés en live. Dans ces titres,  Alabama Mike fait face à la société actuelle et l'observe sans concession. Et Michael Benjamin de son vrai nom ne se bride pas, il dit ce qu'il pense, en chanson, certes mais quand même ! Avec sa voix, il surfe sur de la soul de la vieille école au blues direct en passant par le street-funk terreux et le R&B glanés dans son quartier de cols bleus de Richmond, en Californie, où il vit depuis 25 ans. A cela s'ajoute une puissance gospel qui augmente l'intensité du reste. Sa musique est comme lui, entière !

 "Ma réalité est peut-être différente, mais cela ne veut pas dire qu'elle est fausse. Cela me reflète. En tant qu'artiste, vous devez savoir ce que vous êtes et, plus important encore, ce que vous n'êtes pas."

Alabama Mike est l'un des rares artistes de blues d'aujourd'hui à écrire des chansons fortes et mémorables qui sont à la fois uniques, mais également ancrées dans la tradition du blues. Il écrit sur des thèmes modernes, faisant fonctionner sa musique d'une manière naturelle et non artificielle. Les chansons reflètent d'ailleurs sa personnalité : sans vergogne, sûr de lui et parfois fanfaron. Sa musique peut être parfois brute mais elle reflète la personne complexe et réaliste qu'est Alabama Mike.

Surtout, à ses côtés officie une dream team composée notamment de Jerry Jemmott (basse), Jim Pugh (claviers) et Derrick “D’Mar” Martin (batterie). On note aussi la présence de Rusty Zinn, Anson Funderburgh et Rick Estrin sur un titre chacun. 

Déjà disponible sur les plateformes, le premier extrait "Fat shame" a fait l’objet d’un clip festif bien raccord avec cette épaisse tranche de blues funk et s’impose comme un joyeux hymne antigrossophobie.